
FIXME: Quand un beau matin de l’an 2000, Julie Courcelle découvre sa rue ouverte, labourée, préparée sur presque 1km, le sol devient le lieu privilégié de ses interventions, la ville le sujet de toutes ses attentions.
Depuis, de l’intervention in-situ inoffensive mais sauvage à la collaboration en aménagement du territoire elle poursuit cette exploration des potentiels du sol.
Elle s’applique à y injecter toutes sortes de projets afin d’initier des transformations spatiales qui nous donnent de bonnes raisons d’être debout.
Actuellement en formation pour un an à l’école du paysage de Versailles, elle travaille en particulier sur la question des déblais urbains, des volumes produits par la ville qui se construit, comme matière pour un nouveau socle à dessiner.